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 Une rencontre des plus dangereuses[Lilitz et Masami]

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Arrive à ne pas se perdre dans Ikebukuro
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Lilitz Soma

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Une rencontre des plus dangereuses[Lilitz et Masami] Vide
MessageSujet: Une rencontre des plus dangereuses[Lilitz et Masami]   Une rencontre des plus dangereuses[Lilitz et Masami] Icon_minitime1Sam 17 Mar - 0:36

Le lycée…Une obligation dont je me serais bien passée avec joie. Remplis de filles et de garçons tous plus abrutis les uns que les autres, l’enseignement n’a pratiquement aucune valeur à mes yeux et n’explique pas à cette bande d’idiots composant ma classe ce qu’ils sont réellement sensés savoir: comment survivre dans un élément hostile, comment se protéger de n’importe quelle attaque physique ou mentale. Même si sur ce deuxième point, certains des professeurs critiquant sévèrement les adolescents leur offrent un bon entraînement et leur font le plus grand bien. Ce qui m’afflige est les pleurs des filles et les cris des garçons, leur excuse de « ce n’est pas ma faute mais… » et à contester de n’importe quelle manière l’autorité des adultes. Mais qu’ils arrêtent de couiner pour un rien, ces pauvres larves ! Débiles profonds, attardés mentaux, ne sachant même pas qui est Asuhra et ce qu’est exactement le Bushido alors que ces valeurs et ce savoir font parti de leur Histoire culturelle. Ignorants !

Ce fut donc en injuriant intérieurement mes pseudo-camarades de classe que je me rendis au lycée Raira pour ma deuxième semaine de cours depuis les dernières vacances. J’avais l’impression qu’on me menait à l’abattoir et je sentais le stress du mouton se sachant condamné d’avance. Pas une seule échappatoire mais cela m’était égal : j’avais l’habitude de ce genre de situation désespérée et m’apprêtai à subir une journée de torture mentale supplémentaire. J’avoue avoir sécher trois jours de cours, arguant des maux de ventre et une santé des plus fragiles. En réalité, j’en avais profité pour me rendre au QG des Yellow Turbans prendre les dernières nouvelles vu que j’avais été absente une semaine durant, ayant visité une petite ville portuaire avec Shara. Le voyage avait été charmant et nous en avions profité pour rendre une petite visite à un de nos anciens camarades, un échappé lui aussi du « Deadman Wonderland ». Le pire était que nous avions visionné ensemble une vidéo de ce connard de Tamaki annonçant la création d’un second camp à Tokyo, en tout point semblable à celui se situant en Allemagne. La nouveauté était que cette fois-ci, ce ne serait pas des pseudo-fous dont plus personne ne voulait qui seraient envoyé là-bas, mais des criminels plus ou moins dangereux. Le projet d’une prison privée plaisait au gouvernement qui ne savait plus que faire de ces prisonniers, certains n’ayant commis que de petits délits dans le seul but d’avoir un toit et un bol de riz quotidien. La misère humaine poussait à des extrémités que j’avais connu et que j’espérais ne plus jamais avoir à revivre…

La sonnerie retentit et me délivra de mon purgatoire. Je ramassai rapidement mes affaires et fus la première à pousser la porte. J’adorai ce moment précis de la journée, ce moment durant très exactement cinq minutes et s’étendant entre quatre heures trente et quatre heures trente-cinq, ces si précieuses minutes où je me sentais pousser des ailes et où je courrai presque à la maison afin de me réfugier auprès de la seule personne qui comptait pour moi. Shara. Juste son nom était déjà une poésie emplie de douleur et de joie, de tristesse et de chaleur. Je dépassai le portail marquant l’entré du lycée et m’apprêtai à prendre le métro. Mais le début de printemps apportait des embruns de fleurs et je me décidai finalement à faire le chemin à pieds. Je pris donc mon raccourci, une petite ruelle étroite que n’empruntait jamais personne, et surtout pas ces horribles gamins pustuleux. J’étais presque arrivée au bout et allais tourner quand j’entendis un bruit suspect. Comme si on traînait lourdement une barre de fer sur le bitume, en fait. Je me retournai et…
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