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 Ready to Rock!!; izaya orihara

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I want to kick your ass
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Dillawn C.Rivendell

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Localisation : Ikebukuro



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Ready to Rock!!; izaya orihara Vide
MessageSujet: Ready to Rock!!; izaya orihara   Ready to Rock!!; izaya orihara Icon_minitime1Lun 20 Juin - 19:57

{ . READY TO ROCK!!

IZAYA & DILLAWN

Ici, la foule est toujours dense et stressante. Il ne faut pas être de constitution fragile lorsque l'on décide de s'aventurer dans une telle masse. Peu importe où l'on se trouve, à Ikebukuro on est toujours confronté à des troupeaux humains allants et venants sans arrêt. Un vrai cercle vicieux. Au moins, les personnes les plus douteuses ont de grandes chances de s'échapper à chaque fois. Autant de monde sur une petite place, c'est toujours très facile de se confondre avec les autres...

C'est bien pour cette raison qu'elle avait décidé de s'éloigner d'Ikebukuro pour la journée. À l'heure où les gens prennent leur pose pour déjeuner, elle avait pris un métro qui partait en direction de Shinjuku. Pendant le trajet, elle ne pensait à rien. Cette jeune adolescente n'avait rien prévu de faire là-bas, à Shinjuku. Seulement prendre l'air. S'échapper, partir loin de l'atmosphère étouffante d'Ikebukuro, quitter le temps d'une journée ce quartier et ses légendes. Des légendes... comme Heiwajima Shizuo. Elle se mit à sourire bêtement en repensant à leur rencontre. Elle avait été drôlement secouée, c'était le cas de le dire. Qui aurait pu croire que cet homme en tenue de barman était en fait quelqu'un de tout à fait gentil ? En inclinant son visage vers le sol, elle se mit à sourire de plus belle. Elle espérait le revoir bientôt, ce cher Shizuo.

La jeune blondinette avait passé le début de son après-midi à ne rien faire, sans fainéanter pour autant. Elle avait marché pendant plusieurs heures en ne prenant pour repère que les bâtiments les plus imposants de Shinjuku. Des grattes-ciels... À perte de vue, des grattes-ciels, partout. Le jour, Shinjuku n'était qu'un champs de grands bâtiments gris et triste. Seules les grandes places étaient agréables à voir sous la lumière du jour. Mais... la nuit cela devait tout autre chose. Dillawn s'était mis en tête de venir y faire un tour, un soir. Pour voir... pour s'en convaincre.

Après une journée à ne rien faire ( mais, au fond, c'est ce qu'elle voulait « ne rien faire » ) elle rentra à Ikebukuro par le métro. Quel bien fou ça lui avait fait, de ne croiser aucune tête familière. Un vrai bol d'air, rien de mieux lorsqu'on étouffe. C'est donc soulagée et détendue qu'elle rentrait à Ikebukuro. Visiblement un peu fatiguée, elle avait jeter un bref coup d’œil à son portable. Un message non-lu... de la pub, dommage ! L'air boudeur, elle supprima celui-ci sans même prendre la peine de le lire. Par réflex, elle regarda également l'heure. Bientôt six heure du soir... heureusement, à cette période de l'année, la nuit tombait tard. Dans un bref soupir, elle remit son portable dans la poche de son gilet gris et reposa son dos contre la porte côté rails. Elle n'avait pas trouvé de place assise. C'était ça, l'heure de pointe. Mais, enfermée dans sa bulle et dans ses pensées, c'était comme si il n'y avait personne autour d'elle, et elle se fichait d'être debout pendant une vingtaine de minute.

Malheureusement, voilà. Là ou il y a du calme, il y a forcément... ça. Ça, des gens bruyants, des voyous, des imbéciles... Pff. Dillawn tilta directement et releva les yeux vers le petit groupe. Ils étaient trois. Trois bouffons, ouais. Dans un long soupir et d'un air blasé, elle regardait de son seul œil la troupe de clowns qui s'excitait devant elle. Ils étaient risibles et ridicules. Tout pour se faire remarquer, tout pour déranger et ennuyer. Une violente envie de changer de wagon s'empara de Dillawn, mais il était clair qu'elle risquait de s'étaler de tout son long avec le monde qu'il y avait. Elle préféra donc ne pas bouger. Mais, tout compte fait, peut-être aurait-elle dû.

Ils s'étaient rapprochés d'elle. Ils s'étaient rapprochés et ils riaient d'elle. Ils riaient, pendant que dans sa tête Dillawn tentait de bloquer la violence qui faisait trembler ses mains. Oui, elle voulait les étriper. Leur briser le cou. Les jambes, les membres. Les faire souffrir. Elle n'avait pas choisi d'être comme ça, elle n'avait pas choisi de perdre son œil. Qu'ils arrêtent, bon sang !
Alors que, prête à tout pour retenir sa colère, elle décida de regarder ailleurs que leur sale visage. C'est alors qu'elle le vit... ce type. Cet homme. Il était banal, et pourtant elle l'avait immédiatement vu. Était-ce parce qu'il la regardait fixement avec un sourire agaçant ornant ses lèvres ? La situation dans laquelle Dillawn était l'amusait-il ? Sa réaction à elle fut de froncer les sourcils. Depuis combien temps observait-il la scène de loin ? Et quel regard énervant... Mais réagit idiot, si tu comprends ce qu'il se passe ! Car, oui, visiblement mis à part lui, personne d'autre ne voyait ce que ces trois gorilles faisaient.

Mais, soudain, miracle. Était-ce le regard qu'elle avait lancé à cet homme non loin qui l'avait fait réagir ? Il s'approchait... Dillawn eut fut comme soulagée, sans pourtant afficher une quelconque réaction. Elle serra les dents, un des types s'était permi de la toucher. On se serait cru dans un de ses doujinshi bidon, où les lycéennes se font tripoter sans que personne ne voit rien... Brrr, dégoutant ! Dillawn grimaça rien qu'à cette idée, et ne tenant plus, elle planta son regard divisé dans les yeux d'un des garçon. Avec un seul œil, elle lui transmettait toute la rage qu'il lui inspirait. Ce qu'il ne fit sourire. Elle s'apprêta donc à lever la jambe pour frapper, mais...

« Bonjour ! »

... Quoi ? Hein ? « Bonjour » ? Mais, c'est qui, ce type ? Il est aveugle où quoi ? Et, c'est quoi ce sourire ?
Les trois garçons se retournèrent, synchronisés, et regardèrent le jeune homme. Plus surprise qu'énervée, Dillawn aussi se mit à le regarder. Il avait l'air... d'être totalement à côté de la plaque. Ou alors, c'est qu'il comprenait parfaitement ce qu'il se passait mais qu'il ne le montrait pas. Bouillonnante et par dessus tout très énervée, Dillawn desserra ses poings, l'air sévère. De son seul œil, elle regarda le nouveau venu avec insistance, comme si elle voulait lui faire comprendre « t'as rien trouver d'autre à dire... ? »
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Orihara Izaya

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MessageSujet: Re: Ready to Rock!!; izaya orihara   Ready to Rock!!; izaya orihara Icon_minitime1Ven 24 Juin - 4:39

« Je sors. »

Ce furent ses seuls mots. Après cela, avec avoir vaguement enfilé son manteau, Izaya claqua la porte sans attendre de réponse quelconque de la part de Namie. De toute façon, il était quasiment certain qu'elle n'aurait rien dit de toute façon. En fait, il aurait très bien pu ne rien prononcer, elle n'en aurait eu rien à faire. Ce n'était pas comme si sa vie l'intéressait de toute manière. Elle n'était là que pour l'argent et il ne pouvait pas la blâmer pour cela.
Tout en traversant le hall de l'immeuble où il habitait, il se fit remarquer à lui même qu'il n'avait pas envie de penser à cela. Il laissa donc ses songes aller un peu où ils voulaient, puis alors que ses pas le menaient un peu au hasard des rues, il se demanda ce qu'il allait bien pourvoir faire. « Je sors. » Oui, et ensuite ?
Ensuite... La réponse s'imposa presque d'elle même. A part observer les humains, quel était l'un des hobbies de l'informateur le plus connu de Tokyo ? Tout le monde le savait, surtout les habitants d'Ikebukuro. « Et si j'allais dire bonjour à ce cher Shizu-chan ? ». un sourire inquiétant se dessina sur ses lèvres. Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir inventer pour lui pourrir l'existence et pour gâcher sa journée ? Lui montrer son visage suffisait, visiblement. Tant mieux. Il avait envie de l'agacer, pour qu'il perde encore le contrôle et que cela le démoralise de nouveau. Il le voulait malheureux. Ce n'était que justice, après tout. Il le méritait. Non.

Son chemin se traça de lui même jusqu'à la bouche de métro la plus proche et sans hésitation, il s'y engouffra. Une fois dans la rame, il s'assit sur une banquette et rejeta la tête en arrière de façon à ce que le haut de son crâne touche la vitre derrière lui. Il leva les yeux et regarda dehors, à l'envers, sous le regard étrange et presque inquiété de sa voisine de siège dont il ne se souciait absolument pas. C'était amusant, de regarder le décor défiler derrière les vitres dans le sens inverse. C'était bizarre et donnait presque envie de vomir. Presque. Finalement, le wagon passage dans un tunnel et Izaya ne put observer que son propre reflet, ce qui l'intéressait déjà moins. Il repris alors une position normale et soupira. Le voyage jusqu'à Ikebukuro était ennuyeux, vraiment. Il regarda son portable et soupira une seconde fois. Pas de réseau. Donc, pas de tchat. Sans réelle conviction, il leva les yeux en quête d'une distraction quelconque. Peut-être pour discuter avec sa voisine de droite ? Ou son voisin de gauche, qui violentait frénétiquement les boutons de sa PSP ? Mmh... non.
Il tourna la tête de l'autre côté. Et stop.

Depuis qu'il s'était assit, la rame s'était considérablement remplie. Des hommes d'affaires, des femmes, des enfants, des étudiants en uniforme, des « voyous », et très peu de personnes âgées. Et parmi tout ce pêle-mêle, eux.
Quatre individus qui passaient assez inaperçu, malheureusement. Mais pas aux yeux carmins de l'informateur. Jamais. Son regard se fixa sur eux et il regarda pour l'instant en tant que spectateur la scène qui se déroulait devant lui. N'importe qui qui accorderait un tant soit peu d'attention comprendrait très vite. Ce fut bien entendu le cas d'Izaya.
Il y avait donc cette fille à l'allure un peu étrange. De longs cheveux blonds – teinte rare que le courtier en informations connaissait malheureusement un peu trop – et le visage barré d'une cicatrice, l'œil gauche vraisemblablement inutilisable. C'était l'une des premières choses qu'il avait vu, mais peu importait. Et puis il y avait ces trois lascars. Ils étaient banals au possible. Pathétiques.
Ils étaient tous les trois disposés en arc de cercle autour de la jeune fille et avaient l'air de s'amuser. Pas elle, vu le regard qu'elle avait. Le japonais sourit presque de manière enfantine. Elle allait les frapper ? Se mettre à crier ? Et eux, que faisaient-ils ? Ils se moquaient, ils la harcelaient ? Ah, un contact ! Sûrement un peu des deux parce qu'il fallait l'avouer, cette jeune femme était loin d'être repoussante. Elle semblait sortie tout droit d'un manga.

Et il les observa ainsi pendant plusieurs minutes sans bouger, le regard simplement fixé sur eux. La jeune fille s'en rendit d'ailleurs compte puisque ses yeux croisèrent les siens. Ouh, quel regard.

C'est là qu'Izaya décida de se lever. Ils arriveraient à Ikebukuro d'ici deux ou trois stations de toute façon.
Sans se presser, il évita souplement les autres personnes et s'approcha du petit groupe non loin de lui. Là, il pris le sourire le plus hypocrite qu'il put faire – ce qui n'était, croyez moi, vraiment pas rien. On aurait presque pu voir des petites étoiles scintiller autour de lui.

« Bonjour ! »

Oh, qu'il les aimait, ses humains, quand ils le regardaient avec ce regard plein d'incompréhension. Qu'il les aimait. Cela ne fit qu'élargir son sourire.
Il jeta un coup d'œil à la jeune fille ici présente. De tous, c'était son regard à elle qu'il préférait. Les trois autres avaient vraiment l'air idiot.

« Je ne suis qu'un passant, alors libre à vous d'ignorer ma présence ou non. Sachez simplement que j'observe depuis un petit moment votre manège et permettez-moi de vous donner un conseil : la prochaine fois que vous déciderez de molester une jeune fille, attaquez-vous plutôt à une qui est placée vers le fond, comme celle là-bas par exemple. » Là, il pointa du pouce une jeune femme, debout à l'arrière du wagon, en train de lire un livre. Puis il revint vers ses interlocuteurs. « Mais je dis juste ça comme ça. » Une pause. « Mais ce n'est pas pour cela que je suis venu, même si mon conseil vous sera utile à l'avenir. Non, en fait, je suis venu vous voir parce que c'est assez nul, ce que vous faites en plus d'être complètement idiot. Non parce que vous vous êtes faits prendre, là, ça craint. »

Finalement, ils semblèrent se réveiller. Eh bien. Il était temps, tout de même. Il commençait à se demander s'ils n'étaient pas en train de se changer en poisson ou quelque chose du genre...

« ― Eh, eh, eh. Tu t'crois où toi ? T'crois que t'peux nous faire la l'çon ?

― C'est pas ça, c'est que franchement, je me demande ce qu'il vous est passé par la tête. Enfin je ne sais pas, elle n'a pas l'air d'être heureuse d'être là, avec vous. En même temps, vu vos têtes, cela ne m'étonne pas...
― … QUOI ?! »

Ting ! Ah, un arrêt ! Timing parfait.
Izaya fit un pas en arrière sans effacer son sourire agaçant. Ils firent un pas en avant. Un pas en arrière. Un autre en avant. Puis l'informateur, sans plus de cérémonie, se retourna et partit en courant vers la sortie et posa pied sur le quai, partant à la droite du wagon. Comme prévu, les abrutis le suivirent.
Ce fut très amusant de les faire tourner en bourrique sur le quai de la gare. La partie de cache-cache parmi les poteaux et les passants le fit par ailleurs beaucoup rire. Puis, quand la sonnerie retentit et qu'il fut sûr qu'il n'était plus suivi, il retourna les mains dans les poches dans un wagon au hasard. Il s'avéra être celui juste à côté de celui de la fille de tout à l'heure. Il l'avait presque oubliée avec tout ça.
Coup de chance. L'air de rien, il passa donc la porte entre les deux et arriva derrière elle avec son éternel sourire rayonnant.

« Pas trop de stress ? »

Encore deux stations.
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